Jarl Alexandre Alé de Basseville plante les graines pour une révolution sociale, politique et géopolitique à l’échelle mondiale
Par Guy Boulianne | Le 28/04/2016 | Commentaires (0)
28 avril 2016 — Jarl Alé de Basseville a reçu une importante critique de livre, écrite par Jacob Fletcher et publiée sur le site internet de l’Atelier des Médias appartenant à Radio France International. Ce site internet compte plus de 16,656 membres dans l’ensemble des pays francophones. Jarl Alé de Basseville a récemment publié aux Editions Dédicaces son tout premier livre intitulé « Mon Devoir », disponible chez Amazon.
Écrit par Jacob Fletcher : Jarl Alexandre Alé de Basseville est le descendant du roi Harald 1er de Norvège, mais son rôle dans la vie n’est pas limité à son ascendance. Par contre, il est aussi un grand artiste qui traite de la photographie et de la peinture — et, dès maintenant, un écrivain aussi. Dans Mon devoir, il raconte le parcours de sa vie jusqu’à aujourd’hui, de même que sa vision de la politique, la géopolitique, l’économie et de la société.
Descendant du roi Harald 1er de Norvège et de Robert de Basseville de Normandie, Jarl Alexandre Alé de Basseville est né dans la ville française de Bordeaux le 8 juillet 1970. En effet, il est un des derniers descendants directs de la lignée des rois Viking et Normands. Lors de sa jeunesse — au-dessus de laquelle planait la menace de la Guerre froide — il adorait l’art visuel. Par contre, il s’ennuyait de ses étudies parce qu’il apprenait plein des choses grâce à sa famille.
Le jeune Jarl Alé a passé beaucoup de temps avec les membres de sa famille, et en particulier avec son grand-père. De plus, sa mémoire photographique n’aidait pas à cet égard. Il adorait apprendre le latin.
Tout cela étant dit, de Basseville ne savait pas où mènerait le futur — le futur qui posait, lors de cette époque, la possibilité très réelle que les États-Unis ferait la guerre avec les Soviétiques. L’art devenait ainsi une forme de fuite pour lui, un domaine qu’il pouvait occuper sans ressentir cette peur. C’est au médium de l’art visuel que de Basseville a commencé à développer son identité.
Lors de son adolescence, il a eu beaucoup des difficultés parce que son monde lui semblait sans espoir, sans futur. Il souffrait tellement de cela lui apportait durant des années « une folle envie de [se] suicider ». Pendant cette période, il se sentait tout à fait affaibli. L’art lui donnait de la confiance, du plaisir, peut-être même un sentiment de paix — et, par contre, l’orgueil aussi.
Lorsqu’il avait 15 ans, il a commencé à étudier les bases du Pop Art sous l’égide d’Andy Warhol. Il a étudié cet art sous ses différentes formes : la filmographie, la sculpture, la peinture et la photographie. Enfin, à l’âge de 17 ans, il est parti étudier dans une école d’art à Milan. Là, il a rencontré Lucchi Renato Chiesa, un grand peintre surréaliste.
À 18 ans, les peintures de Basseville ont attiré l’attention du monde lorsqu’elles ont été mises en exposition par son agent new-yorkais. Grâce à ses tableaux et à ses photo, sa renommée continuait de croître au fil des années ; ses oeuvres d’art ont été reconnues par le Metropolitan Museum de New York et par plusieurs magazines de mode, de même que par les experts.
De Basseville a commencé à travailler avec la styliste et modéliste Claude Montana. Dans ses œuvres, il faisait de l’expérimentation avec des nouvelles techniques ; par exemple, il essayait de peindre sur cuir. De Basseville a réussi avec cette méthode. Il créait même des sculptures au médium de tissu. Par la suite, De Basseville travaillait avec plusieurs groupes d’art ; certains parmi eux étaient des groupes français, tandis que les autres étaient des groupes internationaux. Avec ses institutions, il occupait le rôle de directeur artistique et de création.
Au début des années 2000, de Basseville est parti à l’étranger encore une fois : il est parti vivre à Los Angeles. Ici, il a fondé un studio de photo, au sein duquel il travaillait comme directeur artistique. C’est aux États-Unis qu’il a rencontré Rosanna Arquette, actrice et directrice américaine. Ils sont devenus amis et, ensemble, ils ont co-produit Searching for Debra Winter, un film documentaire dans lequel les actrices parlaient des difficultés qu’elles ont rencontrées à cause de leur sexe. Aujourd’hui — bien qu’il y a beaucoup de distance entre eux — ils se considèrent les meilleurs des amis. De Basseville a rencontré beaucoup d’autres vedettes au cours de sa vie à Los Angeles, parmi eux Salma Hayek, Brad Pitt et Jane Fonda.
Aujourd’hui, de Basseville est bien connu pour ses œuvres caritatives. Il joue un rôle important dans la lutte contre le SIDA depuis qu’il a 19 ans. Notamment, il a créé des happenings de peinture (des instances de l’expression artistique inattendue dans les zones publiques) qui représentaient la violence causée par le SIDA, tout dans le but de récolter des fonds. Il travaille aussi avec Womanity, une fondation qui vise à donner aux filles et aux femmes qui vivent dans les pays en voie de développement une bonne éducation. De plus, de Basseville s’est engagé politiquement dans la France, son pays natif. Il lutte dans le but d’aménager les villes pour qu’elles soient plus accessibles à ceux et celles qui sont atteints par des handicaps, étant donné que lui-même est handicapé.
Les perspectives de Alé de Basseville
En ce qui concerne ses opinions politiques, il envisage un monde où les idées de la communauté et de respect pour l’autre sont la force motrice derrière tout. Il déplore le fait que l’argent et le capitalisme ont pris le relais de nos vies sur la Terre. Les gens aujourd’hui, souffrent parce qu’ils laissent l’argent contrôler leurs vies. Par contre, dit-il, nos sociétés doivent être organisées comme des unités familiales, où le respect de la personne est maintenue et respectée. Nous avons besoin, dit-il, de « la politique communale ». Ses idées de sa famille se sont influencées par sa propre vie ; il a grandi entouré de l’amour de ses ancêtres. Il aimerait un jour voir l’Europe uni sous une telle bannière — l’idée qu’un jour toutes les nations européennes soit réunies.
La politique de nos jours, dit-il, se concentre trop sur choisir une position à la gauche ou à la droite du spectre politique. En réalité, cependant, elle devrait se concentrer sur la réalisation de changements positifs qui vont améliorer l’état des choses. Les politiciens sont comme des chefs ; ils doivent être responsables de leurs décisions — et des erreurs qu’ils ont faites. Ils doivent en subir toutes les conséquences devant son peuple et les autres gouvernements. Ils doivent démontrer de la transparence envers leurs peuples, ce qui se fait en leur expliquant toutes les visions sociales, politiques, et économiques. De même, d’une même veine, actuellement, les institutions cherchent souvent à atteindre leurs propres fins — et ceci se fait au détriment des objectifs et des besoins des humains. Bien que les institutions doivent servir aux fins des humains et à améliorer leurs lots dans la vie, souvent ils réussissent à faire exactement l’opposé.
Il souligne que nous devrions nous éloigner des anciens systèmes de gouvernance, comme des baronnies, des duchés et des principautés. En dépit de sa propre lignée, il croit que les gens ne devraient plus se prononcer comme des chefs sur la base de monarchies hiérarchiques. Les institutions, de même que les gouvernements, devraient mettre une certaine distance entre eux et ces modèles.
De Basseville explique aussi le rôle de l’histoire dans son livre. L’histoire, nous dit-il, sert à nous éduquer quant aux ramifications futures de nos actions. Elle devra nous guider. Comme indique l’adage anglophone bien connu : « Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre ». Il faudrait apprendre la vérité historique dans toutes ses formes — que ça soit une expérience agréable ou non. Les professeurs ne doivent pas décider arbitrairement ce qu’ils enseigneront et n’enseigneront pas aux étudiants, même si le peuple de son pays a commis des crimes contre l’humanité. Bref, il faudrait apprendre de l’histoire – et non pas de le cacher en vue de protéger son patrimoine.
Il faudrait lutter pour l’Europe, selon de Basseville. La possibilité d’aider des millions des gens en vaut la peine. Les gens doivent avoir assez à manger, ils doivent vivre en connaissant le grand amour qu’offre les humains — mais il faut aussi qu’ils connaissent la liberté. Les gens doivent être capables de faire leurs propres choix dans la vie, sans vivre sous la peur d’un État qui forcera la main de ses citoyens pour les pousser dans telle ou telle direction. Ceci, c’est le cas avec l’immigration. Il est d’avis que les médias, de même que les politiciens, imaginent l’immigration pour qu’elle soit une source de peur, une source des problèmes dans une société donnée — et ce, malgré le fait que des solutions existent.
En fin de compte, il faudrait féliciter Jar Alé Alexandre de Basseville pour son excellent travail en écrivant ce livre. Nous pouvons apprendre beaucoup de ses messages politiques ; ils sont des idées intemporelles classiques destinées à améliorer le monde. Son idée de la politique européenne en tant que communauté mondiale inspire et nous unit tous, et nous fournit des solutions sur lesquelles on pourra construire l’avenir. Félicitations, M. de Basseville. Vous avez planté les graines pour une révolution sociale, politique et géopolitique à l’échelle mondiale.
Éditions Dédicaces presse Auteur Critique Jarl Alé de Basseville