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Des auteurs, surtout parmi les débutants, reprochent parfois à leur éditeur de ne pas vendre suffisamment. Sans doute pensent-ils que, lorsqu’on se proclame éditeur, c’est qu’on a forcément des capacités de vendeur ? Voilà qui est bien naïf ! Puisqu’un éditeur a des activités commerciales, il est clair qu’il n’est pas plus assuré de vendre que n’importe quel commerçant.

Les services – ou exemplaires – de presse sont, comme leur nom l’indique, des exemplaires gratuits destinés aux médias : journaux, radios, sites Internet, TV locales ou nationales. Ils sont donc destinés à la publicité et envoyés par l’éditeur aux médias qui acceptent d’en recevoir de sa part, soit habituellement, soit ponctuellement, en fonction de leurs disponibilités ^[1] ou de leur spécificité ^[2].

Comme prévu, l’auteur britannique Carol Margaret Tetlow a participé à une séance de signatures pour son premier roman intitulé « Out of Practice ». La séance de signature du livre a eu lieu à la librairie Waterstones de Harrogate, en Angleterre, le 18 octobre dernier de 11:00 à 12:30 l’après-midi. Nous pouvons affirmer sans ambage que ce fut un véritable succès ! L’auteur a vendu 84 exemplaires de son livre en moins de 90 minutes ! C'est pour ainsi dire un record en soi !

L’auteur nous a écrit par courriel : « Ce doit être l’une des meilleures expériences de ma vie. La file d’attente traversait la boutique et dépassait la porte d’entrée ! L’équipe de la librairie Waterstones était vraiment serviable et les gens m’ont invité à revenir avec mon prochain roman. Ils ont dit qu’ils n’ont jamais eu une telle réponse auparavant pour un auteur local ».

• Nous vous invitons à consulter l'album photo de cet événement palpitant.

Chaque écrivain rêve de trouver un éditeur. Si vous pensez que l’écriture d’un livre est un travail difficile, alors trouver le bon éditeur est encore plus difficile.

J’ai écrit mon premier roman, « Out of Practice », en 2008 et je suis rapidement devenue habituée aux rejets répétés des agents littéraires et des éditeurs au Royaume-Uni, là où je vis. Il semble que personne n’était intéressé à prendre une chance avec un nouvel auteur. Sans me décourager, j’ai continué à écrire et j’ai terminé ma série de quatre romans, toujours sans succès et avec une association désastreuse avec un agent littéraire, que je préfère oublier.

L’auteur Pascal Renaudineau vient tout juste d’obtenir un encadré dans la revue bimensuelle Athlétisme Magazine, No.553 – juillet-août 2014, pour son dernier roman intitulé : « 7 jours pour Anna », publié aux Editions Dédicaces. La revue Athlétisme Magazine est éditée par la Fédération française d’athlétisme et elle est vendue par abonnement aux licenciés (tirage 20 000 exemplaires, 60 000 lecteurs). Les 1800 clubs d’athlétisme de France reçoivent ce magazine.

C’est une vérité indiscutable : le lectorat francophone préfère le roman – voire un bon pavé – aux recueils de nouvelles. Ce fait est loin de dissuader les auteurs d’en écrire et de souhaiter en publier. Les éditeurs, par contre, sachant parfaitement à quelles méventes ils s’exposent, oseront fort peu prendre le risque de publier un recueil de nouvelles, surtout émanant d’un auteur « inconnu ».

L’auteur Pascal Renaudineau vient tout juste d’obtenir un article dans le magazine Joggeur (N°8 Août/Septembre 2014), pour son dernier roman intitulé : « 7 jours pour Anna », publié aux Editions Dédicaces. Joggeur est un bimestriel consacré à la course à pied en France. Il est vendu en kiosque partout dans l’hexagone. Plaisir, forme, santé, bien-être : voilà les valeurs clés véhiculées par la course à pied. Ces valeurs sont celles de « Joggeur ». L’envie de « Joggeur » est de guider les gens pour choisir un entraînement adapté autant qu’un matériel efficace et joli dans une dynamique « plaisir ».

Après Running attitude et Jogging international, c’est au tour de Runner’s world de conseiller la lecture du dernier roman de Pascal Renaudineau intitulé « 7 jours pour Anna » (Editions Dédicaces) dans son dernier numéro qui vient de paraître (page 15 du n°47 daté de juillet 2014). Pourquoi cet engouement de la presse Running ? Tout simplement parce que le marathon de New York est au cœur de ce thriller sentimental… A votre tour, laissez-vous tenter par la lecture de ce polar « déroutant » comme l’écrit Runner’s world, que vous aimiez ou non la course à pied. Alain, le héros du roman est d’ailleurs un anti-sportif convaincu !