Éditions Dédicaces

L’agent littéraire, notons le bien, est une profession qui n’existe pas en France. Dans les pays anglo-saxons et en Allemagne, personne ne songerait à se faire éditer sans passer par un agent littéraire, alors qu’en France et dans de nombreux pays francophones, les éditeurs privilégient le contact direct avec les auteurs, sans passer par aucun intermédiaire ; ce comportement se rencontre avant tout parmi les plus grands : le grand Galligrasseuil  et ses pareils, bien entendu !

D’après de récentes rumeurs (source non identifiée), l’équivalent du ministère de l’éducation nationale aux États-Unis d’Amérique projette de ne plus enseigner l’écriture manuscrite dans les écoles primaires. Motif invoqué : jeunes et moins jeunes utilisent bien plus souvent des claviers qu’un stylo dans leurs modes de communication : ordinateurs, tablettes ipad, smartphones, etc.

Ce vendredi 15 novembre 2013, la liseuse de livres numériques des Editions Dédicaces a obtenu une critique très positive à l’émission télévisée « Rêves et Cris », en France. En fait, l’équipe de Rêves et Cris a fait la comparaison entre la liseuse de notre maison d’édition et celle de Sony et de Amazon… et franchement, notre appareil relève pleinement le défi ! Le chroniqueur Joachim Pozzoli a souligné les différents avantages de notre liseuse dont le grand format, l’écran en couleur, la gestion facile des fichiers et l’aisance de lecture pour les fichiers PDF :

Beaucoup d’auteurs (tous, en vérité) souhaitent que leurs livres soient diffusés en librairie. Cependant, de moins en moins de libraires acceptent des envois d’offices, c’est-à-dire de recevoir des cartons de livres envoyés d’office, donc sans sollicitation, par les éditeurs.

Quelques libraires préfèrent, à la rigueur, recevoir un ou deux exemplaires de telle ou telle nouveauté. Ils sont de plus en plus rares, répétons-le. Seules, les librairies complètement inféodées aux grands éditeurs de la place parisienne reçoivent les nouveautés par cartons entiers – entendons-nous bien : il s’agit de librairies qui appartiennent à ces grands éditeurs.

J’ai souvent écrit au sujet des relations auteur-éditeur. Je continue car ledit sujet est bien loin d’être épuisé, ainsi que je m’en rends compte selon les diverses remarques qu’il m’arrive de recevoir et autres observations que je fais fortuitement. Ainsi, on m’a souvent fait remarquer que les accords auteur-éditeur, tout négociables qu’ils puissent être, sont fréquemment léonins. Et je reçois des plaintes à n’en plus finir de la part d’auteurs souvent peu réfléchis : les éditeurs sont les plus favorisés, ils se font de l’argent sur le dos des auteurs – ça, c’est le plus beau ! –, leurs contrats les avantagent en priorité, etc.

Le 16 juin dernier, l’Association pour la création littéraire chez les jeunes (ACLJ) était présente au 4e anniversaire des Editions Dédicaces par l’intermédiaire de son Président, M. Didier Calvet, et de son Directeur général, M. Claude Filimenti. L’ACLJ est un organisme sans but lucratif créé en 2003 par l’orthopédagogue Didier Calvet afin de promouvoir la qualité de la langue française et de donner aux jeunes — et aux moins jeunes — le goût de lire et d’écrire en mettant en valeur leurs propres créations littéraires.

C’est Monsieur Calvet qui remit le prix à l’heureuse gagnante de la liseuse de livres numériques des Éditions Dédicaces. Or, l’ACLJ vient tout juste de publier un article concernant cet événement dans le bulletin de l’association (juillet 2013, No.115). Ce bulletin est transmis à plus de 6000 personnes et organismes :

Le Fondateur et PDG, Guy Boulianne, a parlé du 4ième anniversaire des Editions Dédicaces à la Radio CJSO 101,7 FM, lors de l’émission « Ç’est toujours un plaisir » co-animée par Jocelyne Lambert et Jean-Marc Lebeau (Sorel-Tracy, Québec). Le FM 101,7 demeure l’une des rares stations de radio privée indépendante au Québec. Elle soulignait, en 2009, ses 65 ans de radiodiffusion. Actualités régionales, culturelles et sportives s’ajoutent à une programmation musicale diversifiée pour le plus grand plaisir de ses quelque 75 000 auditeurs.

Tel que prévu, le 16 février dernier eut lieu le deuxième « Filmed in Utah Awards », c’est-à-dire la remise annuelle des Prix pour les Meilleurs Artisans du film dans l’Utah. Le FIU awards honora les productions du cinéma, de la télévision, de la musique et du web de cet État américain. Au total, vingt-deux catégories différentes ont été représentées. Cet événement fut organisé par le producteur et animateur Warren Workman.