Ludovic Sclain réalise une très belle critique du roman de Angel R. Almagro intitulé « Au-delà d'une aventure, un bel amour »
Par Guy Boulianne | Le 13/05/2019 | Commentaires (0)
Nous vous invitons à regarder et à écouter ci-dessous une très belle critique réalisée par Ludovic Sclain à propos du nouveau roman de Angel R. Almagro, intitulé « Au-delà d'une aventure, un bel amour », publié aux Éditions Dédicaces. Né à Cuba en 1944 où il vécut jusqu'en 2001, Angel R. Almagro n'avait jamais pu faire connaître son message poétique à cause du régime marxiste qui régit son pays et par des faux prêtres qui avaient essayé de détruire sa création littéraire. Il quitta alors son pays pour atteindre les Etats-Unis. Il souhaite que les gens considèrent ses poèmes et son œuvre toute entière « comme une fontaine de prophéties, parce qu'il est déjà temps de croire les vrais poètes comme messagers spirituels à travers qui on peut apprendre que notre monde a vraiment besoin de rénovation. »
Angel R. Almagro a publié trois recueils de poésie aux Editions Dédicaces, intitulés « AMEN ou L'Enfant et La Bête », « Femme » ainsi que les deux volumes de « Le Rêve du Prince Ailé ».
Au-delà d'une aventure, un bel amour
Une fois que la Première Guerre Mondiale fut terminée, des français — presque tous des héros de la République française — prirent part à un équipage de gens que l'on croyait morts lors d'un accident aérien, alors qu'ils effectuaient le premier vol de longue distance à bord de l'avion géant Farman « Goliath » depuis Paris jusqu'à Dakar. Ils s'étaient alors perdus dans le désert du Sahara, sans nourriture et sans eau.
Ils étaient restés presque deux ans à Cuba, et l'endroit le plus important durant leur séjour sur le territoire cubain avait été l'aérodrome de Columbia de La Havane, lequel était devenu une vraie foire aéronautique à cause de la présence des aviateurs français. Pour ces français, après les batailles de la Première Guerre Mondiale et le vol d'épreuve du « Goliath » vers Dakar, tous ces événements étaient produits sans aucun repos. Leur séjour à Cuba était comme une aventure, laquelle avait eu lieu dans une atmosphère relaxante et chaleureuse, pleine d'affection et de bonheur.
Une mulâtresse cubaine, qui était chargée de faire la cuisine pour ces pilotes et mécaniciens français, était la femme la plus importante dans l'aérodrome de Columbia. Son prénom était Geneviève. Tandis que l'un des français, Léon, tomba amoureux de Geneviève.
C’était une belle mais triste histoire d’amour.
Éditions Dédicaces livre Auteur Critique Angel R. Almagro