L’auteur Georges Botet Pradeilles obtient une critique de livre sur le site du journal La Métropole (75,000 pages vues par mois)
Par Guy Boulianne | Le 31/10/2012 | Commentaires (0)
L’auteur Georges Botet Pradeilles vient d’obtenir une critique pour son ouvrage philosophique, intitulé : « Fallait-il tuer Socrate ou l’assassinat collectif de la vertu », sur le site du journal La Métropole. La Métropole n’est pas simplement un blogue, mais surtout un journal distribué gratuitement et lu par plus de 150,000 personnes dans la région du Grand Montréal, au Québec. Le site internet, quant à lui, reçoit plus de 40,000 visiteurs et plus de 75,000 pages vues par mois.
La journaliste Sandra Paré écrit : « Fallait-il tuer Socrate ou l’assassinat collectif de la vertu ». Quel titre accrocheur et écorcheur pour ce penseur! L’auteur Georges Botet Pradeilles nous glisse cet essai entre les dents. En ces temps où les vampires vampirisent notre quotidien.
D’abord, existe-t-il encore à notre époque cette capacité à faire le bien, qu’est la vertu? J’en ai un sérieux doute. Si Socrate vivait aujourd’hui, il passerait pour un fou! Nous parlerait-il de morale et de politique comme il le faisait en Grèce des années 400? Socrate n’écrivait point, il parlait. Encore aujourd’hui nous citons Socrate; faut-il que monsieur ait su trouver les bonnes paroles pour traverser le temps. Mais que désirait donc Socrate? Socrate étudiait ses concitoyens.
Ce qu’il aurait désiré le plus, selon l’auteur, c'était de faire émerger ce qui fait trame et fond dans tout esprit humain. Il voulait toucher ce savoir redoutable du juste et du vrai que chacun fuit dans la surenchère de son propre intérêt.
Socrate rime avec société. Dans ce livre, Socrate se fait questionner, astiquer, démembrer. Chose certaine, les points d’interrogation flottent au-dessus de nos têtes à chaque paragraphe de ce livre. Tragique est le manque de temps pour lire et relire les citations et les analyses sur notre égoïsme au fil des temps. En effet, Monsieur Botet Pradeilles, l’homme n’a pas changé. Merci tout de même de nous rappeler que le MOI est nécessaire à toute société, tout autant que le NOUS.
L’auteur, docteur en psychologie, restitue, dans une dimension à la fois littéraire ironique et passionnée, la profondeur de l’épopée socratique. Une indépendance d’esprit salutaire, profonde et jubilatoire à partager…
Achetez ce livre et installez-vous au coin du feu un soir de tempête de neige. Vous trouverez essence et vie à toutes les pages. Vous ne serez pas toujours en accord, mais n’oubliez-pas, Socrate est un vieil homme qui a pensé un jour que le monde serait mieux qu’il ne l’était et qu’il ne l’est aujourd’hui.
Des ravioli aux escalopes à la crème en passant par le couscous
Qui se soucie aujourd’hui de la vertu? Qui se souvient de son pouvoir fondateur des sociétés durables? Socrate amenait les Athéniens, pris dans leurs prétentions et leur immodestie, à un partage de vérité avec cette assurance du vieux sage qui ne craint plus aucune perte matérielle…
Sa critique radicale du fallacieux et de l’abusif troublait l’ordre collectif médiocre de toutes les époques où les enjeux personnels et les convictions partisanes surpassent toujours l’exactitude du sens collectif. Cette maïeutique Socratique résonne encore, avec peut-être même une meilleure urgence, pour nos foules actuelles illusionnées par la surenchère folle des objets et des prétextes. L’homme postmoderne s’étourdit dans ce déni du « Je ne suis que cela…». Vérité terrible à reconnaître, mais finalement rassurante…
L’auteur, docteur en psychologie, restitue – dans une dimension à la fois littéraire ironique et passionnée – la profondeur de l’épopée Socratique. Une indépendance d’esprit salutaire, profonde et jubilatoire à partager...
ISBN : 978-1-77076-130-8
Format : 184 pages, 6.0 x 9.0 po., broché,
papier intérieur crème #60, encre intérieur noir et blanc,
couverture extérieure #100 en quatre couleurs
Éditions Dédicaces presse La Métropole journal Georges Botet Pradeilles