Jean-Yves Fortuny a choisi le fantastique comme registre littéraire qui se caractérise par l’intrusion du surnaturel
Par Guy Boulianne | Le 12/02/2014 | Commentaires (0)
Le chroniqueur marocain Nidal Jemoudi a écrit une très belle critique au sujet du premier roman de Jean-Yves Fortuny, publié aux Editions Dédicaces. Cette critique, qui porte le titre de : « Le jour où mon âme a parlé : Jean-Yves Fortuny a choisi le fantastique comme registre littéraire qui se caractérise par l’intrusion du surnaturel », vient d’être publiée sur le blogue Toutes les dernières nouvelles. Ce blogue francophone possède un très haut niveau d’achalandage (PR4), il apporte donc une visibilité importante au livre de l’auteur.
Par Nidal Jemoudi : Dans son premier roman publié « Le jour ou mon âme a parlé », Jean-Yves Fortuny a choisi le fantastique comme registre littéraire qui se caractérise par l’intrusion du surnaturel dans des événements et des éléments naturels, faisant aussi appel à la science-fiction et à l’horreur, alors le lecteur se trouve entre le marteau et l’enclume car ce genre provoque chez lui un sentiment d’angoisse et d’hésitation entre le possible ou l’impossible et parfois entre la logique et l’illogique.
Le héros fantastique de ce roman s’appelle Anselme, un infirmier à la retraite âgé de soixante-neuf ans, connu dans son village comme un homme simple et généreux y compris dans le corps médical. Anselme faisait partie de cette génération d'infirmiers se permettant plus facilement que beaucoup de ses collègues - pourtant Dévoués – d’un peu d’humanité dans un monde capitaliste où règne le stress, l’intérêt individuel, la poursuite du bonheur, de l’American Dream et de rentabilité forcée par un système inadapté à son temps.
Comme tous les retraités, Anselme passe la journée à faire des balades avec sa femme, à marcher, à regarder la télé dans sa chaise berçante, à promener son chien, à aller à la chasse. Un jour le vieux couple heureux reçoit une invitation étrange qui l'invite à rejoindre Paris en cette période de Noël. Alors le vieux Anselme ne se doute pas qu’il est sur le point de passer le Noël le plus mémorable de toute sa vie .Ce voyage va totalement bouleverser sa vie et changer complètement sa manière de penser et de voir les choses car celui-ci n’est pas seulement un voyage, mais plutôt une expérience de vie et de recherche de soi .
J’ai trop aimé la personnalité d’Anselme qui nous a amené dans ce roman... dans un voyage fantastique. À travers lui on aime, on haït, on rit, on pleure et mieux encore, on apprend et on plonge dans des moments de réflexion. Anselme est quelqu'un qui croit en son destin et surtout en lui. Il est d'une génération où l'on parle sans arrêt de « Dieu », mais il fait davantage confiance en ses propres capacités, qu'en celle du grand sage à barbe blanche comme il dit !
La personnalité d’Anselme m’a laissé vraiment des traces extrêmement profondes en moi, je ne vous dirai pas plus de détails sur sa personnalité. C’est à vous de la découvrir et aussi d’apprendre de sa sagesse et de sa modeste expérience de vie.
Le jour où mon âme a parlé, par Jean-Yves Fortuny
Le jour où mon âme a parlé
Âgé de soixante-neuf ans, Anselme est un infirmier à la retraite. Comme tout le monde, il a eu son lot d'épreuves et aspire à une fin de vie tranquille aux côtés de son épouse Constance.
Mais cette année s'annonce sous de nouveaux hospices ; ça complote autour de lui et une invitation mystérieuse l'invite à rejoindre Paris en cette période de Noël. Rien ne lui est dit sur le but de ce voyage qui le mènera de découverte en découverte et changera radicalement le reste de sa vie.
À PROPOS DE L'AUTEUR :
Jean-Yves Fortuny a écrit un roman de genre fantastique qu'il utilise toujours avec parcimonie, mais suffisamment pour susciter la curiosité. L'auteur se considère au début de sa vie littéraire, même s'il a participé à quelques salons pour une nouvelle qu'il ne rééditera pas pour des raisons personnelles. "Le jour où mon âme a parlé" est son tout premier roman publié.
ISBN : 978-1-77076-265-7
Format : 132 pages, 6.0 x 9.0 po., broché,
papier intérieur crème #60, encre intérieur noir et blanc,
couverture extérieure #100 en quatre couleurs
Éditions Dédicaces livre presse Critique Jean-Yves Fortuny